Mutuelle obligatoire et médecine douce

Depuis quelques jours, c’est maintenant officiel, les mutuelles sont devenues obligatoires. Toutes les entreprises employant des salariés doivent dorénavant contracter une mutuelle. Cette obligation est-elle réellement une avancée pour le salarié, ou est-ce un moyen supplémentaire d’aliéner ce dernier à un système de santé bien huilé. Le lobbying des sociétés pharmaceutiques est-il si puissant qu’il faille imposer à la population française un système conçu pour permettre à ces sociétés de continuer à prospérer en toute légalité. Ce sponsoring déguisé reflète bien l’approche que l’on se fait de la santé où l’action préventive est reléguée au rang anecdotique.

Mutuelle obligatoire, et après?

L’obligation est faite d’avoir pour tous les travailleurs une mutuelle. Le gouvernement en a décidé ainsi. Mais ce principe n’est pas sans contrainte et choix cornélien car qui décide réellement du choix de la mutuelle? Employeurs et travailleurs en concertation, je l’ose l’espérer. Les mutuelles sont tellement variées lorsque l’on compare les prestations qu’elles proposent qu’il en est difficile de faire un choix en toute objectivité. De plus l’orientation volontaire des remboursements qu’elles pratiquent sur les soins les plus onéreux et/ ou les moins bien remboursés pèse fortement dans le choix final.

Toutefois, même si certains soins comme les soins dentaires, les soins oculaires, sont très chers ils restent nettement en retrait en comparaison d’une opération avec séjour hospitalier voir même de chirurgie en ambulatoire. Les dépassements d’honoraires pesant pour beaucoup dans la facture finale.

magnétisme soin thérapeutiqueAlors pour être en conformité avec cette nouvelle loi, faut-il axer son choix vers une mutuelle qui rembourse correctement la chirurgie au détriment des soins dentaires ou le contraire. Pour être tout à fait honnête ce n’est pas à moi de vous le dire, ce choix fait partie d’une négociation interne à chaque entreprise pourvu qu’il se fasse dans un consensus unanime. Quel que soit ce choix il invite le bénéficiaire à recourir encore plus aisément à la médecine et à la médication à outrance. Car dans ce processus on ne parle que trop rarement de prévention mais bien de traitement curatif. La prise d’une mutuelle part bien du postulat que nous sommes tous des malades potentiels et que la sécurité sociale devra baisser le montant de ses remboursements , passant le relais ainsi aux mutuelles pour alléger la facture.

Ce système, bien qu’ingénieux,  ne sera pas plus pérenne que celui qui était en place précédemment, sauf à faire payer toujours plus le consommateur au final.

Voici un exemple simple et parlant pour illustrer cela: une personne en bonne santé, n’ayant pas de problème particulier consulte le médecin une à deux fois par an. Un rhume, mal de tête, petite douleur au coude, que sais-je. Le coût de ces visites annuelles est d’environ 43€ + les médicaments (systématiques) qui seront prescrits, disons 60€.

Coût total pour cette personne en dépense de santé 103€

Coût total d’une mutuelle (obligatoire) environ 55€ mensuel = 660€ sans compter l’imposition due à l’avantage en nature.

La différence est de 557€ perdus que l’on multipliera par le nombre d’années, je vous laisse faire le calcul. Éventuellement ce calcul simple laisse libre achat d’une paire de lunette ou autre pendant l’année en cours sans pour autant être déficitaire. N’oublions pas que les cotisations sociales sont toujours prélevées elles aussi sur le salaire.

Des mutuelles alternatives, et pourquoi pas!

Et la prévention, dans ce mode de fonctionnement où a-t-elle sa place? Très peu encouragée par les institutions la prévention trouve tout de même sa place dans le bon sens d’une grande partie des personnes. Heureusement que nous restons tous à l’écoute de notre corps pour déceler les prémisses d’un éventuel dysfonctionnement.  D’ailleurs certaines mutuelles l’ont compris et proposent maintenant des remboursements, encore trop peu nombreux, pour des soins réalisés en parcours de médecine alternative.

Ces soins, attribués aux médecines douces sont généralement d’ordres préventifs, ou tout au moins, légèrement curatif car réalisés en début devotre santé vous appartient pathologie ou maladie, ce qui permet de réduire considérablement le recours à la pharmacopée classique. La consultation d’un patient à ce stade lui évite d’entrer dans l’engrenage du système de santé traditionnel. Les mutuelles font actuellement le constat positif des pratiques alternatives. Une amélioration générale du bien-être des patients engendre un état de forme repoussant par le fait toute forme de maladies.

La recherche de la performance dans le parcours de santé se doit de rester la priorité. Hors la consommation outrancière de médicaments n’a pas plus de sens que de ne rien faire pour être en bonne santé. Le juste milieu doit prévaloir pour optimiser l’équilibre du corps et ainsi laisser à ce dernier la marge de manœuvre nécessaire à sa guérison. Les mutuelles offrant des remboursements en parcours alternatifs sont donc une option très intéressante pour qui veut maintenir sa santé dans des conditions idéales.

Nouvelle mutuelle, nouvelle pratique

En lien direct avec l’exposé ci-dessus on peut s’interroger sur la pléthore de médecines douces existante actuellement sur le marché. Il est simple de constater sur internet ou les pages jaunes le nombre de disciplines touchant aux médecines alternatives. Ce panel de pratiques n’est qu’un panorama juste du marché des demandes. En effet si une pratique existe c’est que certains patients en ont créé la demande. La corrélation entre l’offre et la demande des patients permet de subvenir à leurs attentes et aux cas les plus divers. Depuis quelques années l’explosion des pratiques de médecines douces met en évidence l’échec constaté du système de santé actuel. La société moderne a  trop vite mis en exergue le savoir ancestral des peuples qui l’ont précédée.

Évidemment il ne faut pas renier les avancées extraordinaires de la médecine hallopathique, ses spécialités sans cesse développées, mais pourquoi mettre aux oubliettes les gestes et les savoirs que notre instinct et notre nature a mis des siècles à mettre au point. Ceci pour en revenir aux fondements de la médecine naturelle, du magnétisme et de l’énergétique.

Pour rappel, à l’échelle subatomique, les être humains, animaux et plantes sont constitués d’énergie. Cette énergie électrique et magnétique crée un champs électro-magnétique qui encercle le corps physique. L’action du magnétiseur et de l’énergéticien est donc d’agir sur ce champs d’énergie afin de rétablir un déséquilibre éventuel. Considérons cette action comme de la prévention, celle-là même que l’on a mise de côté pour privilégier la prise de substances issue des laboratoires pharmaceutiques ou le passage éventuel par la case hôpital.

Sacrifier un modèle de médecine au détriment d’une autre sous prétexte qu’elle est officialisée est à mon avis une erreur. Un paradigme de santé peut se réinventer sous condition de faire les bons choix. Chacun est en droit d’exprimer son libre arbitre surtout en matière de santé.

Une mutuelle, oui, pourquoi pas! Une mutuelle aidant les patients à recourir à la prévention ainsi qu’aux médecines alternatives telles qu’elles sont pratiquées et expliquées sur le site magnétiseur-quantique alors oui à 100 %.

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